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...accès à la Méditerranée par les Détroits. Les Anglais ne veulent pas de cette extension de l’influence russe. Napoléon III, quant à lui, voit dans cette guerre un moyen de briser la coalition formée contre la France en 1815. Les Alliés débarquent à Gallipoli, à l’entrée du...
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...printemps, Napoléon installe son quartier général à Finkenstein; début juin, il est prêt à attaquer les Russes. L’armée française dispose des meilleurs généraux et maréchaux de PEmpire, tels Ney, Davout, Soult, Bernadotte, sans oublier Murât et sa cavalerie, qui s’installent...
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...Niémen, l’immense armée aux éléments hétéroclites s’apprête à s’enfoncer dans les plaines russes. «Celui qui aurait pu m’épargner cette guerre m’aurait rendu un grand service, mais enfin la voilà, il faut s’en tirer», confie Napoléon à Savary. Pourquoi cette guerre?...
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...décisifs sur les théâtres d’opérations des rives orientales de la mer Noire et de la Baltique. Le géant russe se dérobe et sa puissance n’est pas entamée. L’état-major décide alors de détruire Sé- bastopol’, le grand arsenal russe de la mer Noire. Selon Saint-Arnaud, le...
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...contingents français, allemands, suisses, italiens, hollandais, croates, polonais, en une multitude que les Russes appelleront «l’armée des vingt nations»; pareille hétérogénéité est un important facteur de faiblesse. Les Russes pratiquent la «terre brûlée» et refusent le combat;...
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...inutile Fin 1806, Napoléon u vaincu à Iéna et à Auersledt la quatrième coalition formée par la Prusse, la Russie et l’Angleterre. Au début de 1807, il doit faire face à la Russie restée invaincue. Installé à Varsovie, l’Empereur peut évaluer sur place la situation des deux...