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...des conversions forcées, gonflé par les intendants, fait croire au roi qu’il n’y a plus de rebelles à la confession catholique. L’édit de Nantes, caduc, peut être abrogé. Il est remplacé, le 18 octobre 1685, par l’édit de Fontainebleau, à l’approbation quasi générale du pays....
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Une loi générale, claire et absolue En 1598, Henri IV affirme, dans le préambule de l’édit de Nantes, sa volonté de régler définitivement les questions religieuses qui, depuis un demi-siècle, divisent les Français. De cette pacification, il attend le rétablissement de l’Etat...
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...d’accord entre deux parties, mais d’un pardon que le roi offre à ses sujets égarés, à condition qu’ils rentrent dans le devoir. L’édit de grâce d’Alès du 27 juin 1629, signé, en fait, à Nîmes où Louis XIII réside, sépare nettement la question religieuse de la question...
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...grands inquisiteurs aux trois cardinaux membres du Conseil et résidant à la cour, Bourbon, Châtillon et Lorraine. Le 24 juillet, l’édit de Compiègne définit les pouvoirs «des inquisiteurs de la foy». Depuis l’édit de Châteaubriant de 1551 qui confirmait la législation antérieure,...
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...II consomme la rupture; le «tumulte d’Amboise» (mars 1560) et l’échec du colloque de Poissy (septembre 1561) conduisent à l’édit de Janvier (1562) qui autorise le culte réformé; mais, en mars de la même année, le massacre de Wassy ouvre l’ère des violences. Les mesures qui...